samedi 27 décembre 2008
Bonne année à toutes et tous!
mercredi 17 décembre 2008
Atout-Pont : « Brisons la glace »
vendredi 12 décembre 2008
«Il n'y a de réussite qu'à partir de la vérité» (Mémoires de C. De Gaulle)
jeudi 11 décembre 2008
Plus de sérieux, moins d’arrogance
lundi 8 décembre 2008
«Vaincre sans gloire, c’est régner sans crédibilité»
mercredi 26 novembre 2008
Menue dépense mais gros souci pour Henry Lemoine
samedi 15 novembre 2008
Henry Lemoine risque l’inéligibilité
Le cirque Barnum… encore et toujours
mercredi 12 novembre 2008
La dernière contre-vérité d’Henry Lemoine
vendredi 24 octobre 2008
Le doigt sur la couture
mercredi 22 octobre 2008
Bas les masques !
mercredi 8 octobre 2008
Heureusement que le ridicule ne tue pas
dimanche 5 octobre 2008
Face à face
vendredi 3 octobre 2008
Mentir Mentir
jeudi 11 septembre 2008
"Notre ville, notre passion"...avec notre pognon
jeudi 4 septembre 2008
L'herbe est plus verte chez le voisin
mardi 12 août 2008
Trey Trey Trey bizarre...
mercredi 6 août 2008
Pas le bénéfice du doute
lundi 4 août 2008
Marche arrière toute !!!

lundi 28 juillet 2008
L'espace Montrichard, une salle de spectacle ?

vendredi 25 juillet 2008
Une question de crédibilité
jeudi 24 juillet 2008
Le merveilleux monde des Bisounours
jeudi 17 juillet 2008
Que fait la police ?!
mardi 15 juillet 2008
Chère eau
samedi 12 juillet 2008
Qui a osé faire ça ???


jeudi 10 juillet 2008
La politesse des rois
mercredi 9 juillet 2008
Discours du samedi 5 juillet au siège de l'association

mercredi 2 juillet 2008
Deux eaux...un prix

* La première concerne le choix du délégataire (VEOLIA, la Nantaise des eaux services (NDES), Lyonnaise des eaux (LDE) ou la SAUR) : dans le rapport sur le choix du candidat, les éléments de comparaison tant techniques que financiers ont été présentés aux élus. La comparaison des éléments techniques, proposant une eau et des installations de qualité supérieure, parfois même nettement supérieure, plaident nettement pour VEOLIA. Au niveau du prix, le rapport proposé par la municipalité estime que les prix proposés par les deux autres firmes sont significativement supérieurs à ceux de la SAUR. C ’est faux : la moins-disante était NDES alors que la différence entre la SAUR et VEOLIA, visiblement les firmes présentant les meilleures garanties techniques, n’était que de 1,2 centime par mètre cube. Si on estime qu’une famille moyenne (parents et deux enfants) consomme 100 mètres cubes par an, cela représente un surcoût de 1,2 euro par an. Refuser de payer 1,2 euro de plus par an (soit 0,1 euro par mois) pour jouir d’une eau de meilleure qualité et de garanties techniques supérieures, il semble évident que cela n’aurait pas été le choix de beaucoup de familles mussipontaines. Mais vu qu’il ne restait que huit jours à la municipalité pour prendre sa décision, inutile de dire qu’il n’était envisagé (ni envisageable d’ailleurs) d’organiser un référendum citoyen à ce sujet. Et c’est bien dommage car il y a fort à parier que les Mussipontaines et les Mussipontains auraient fait preuve de plus de discernement que la municipalité. Dans ce cadre, comment expliquer que le rapport minimise les offres de NDES et de VEOLIA au profit de la SAUR alors que les éléments de comparaison sont systématiquement au profit de l’un ou de l’autre ? Comment expliquer que dans la synthèse, la SAUR apparaît de manière contradictoire en première position par la municipalité ?Cela laisse pantois. Et, face à ce qu’appelle Paul Giroux « l’épicerie » dans son exposé brillant du 22 mai (salué également dans les rangs de la majorité), il reste des interrogations qui, dans certains esprits, peuvent vite tourner à la suspicion. Mais pas pour moi… ce n’est pas mon genre.
* Le deuxième point concerne la prise en charge de l’amélioration de la filière de traitement de l’eau de la source du Père Hilarion. Paul Giroux, encore une fois lui, a soulevé cette fois un lièvre format mammouth : en effet, et le maire l’a confirmé lors de la séance du 22 mai, seule la source du Père Hilarion sera traitée en matière d’équilibre calcocarbonique (traitement permettant de fournir une eau dont le taux de calcaire est raisonnable : un luxe pour notre ville qui a plutôt l’habitude de consommer de l’eau dure). Tout irait bien dans le meilleur des mondes si la source du Père Hilarion était la seule source qui alimente la ville. Et ce n’est malheureusement pas le cas : en effet, une grande partie de l’eau fournie à Pont-à-Mousson (85%) vient de Dieulouard et cette eau ne sera absolument pas traitée contre le calcaire.