samedi 15 novembre 2008

Le cirque Barnum… encore et toujours

Ce week-end ont lieu les élections de l’UMP : le but du jeu est de désigner le délégué de la sixième circonscription, poste occupé durant de nombreuses années par Paul Giroux, et les représentants locaux dans les différentes instances départementales et nationales.
Pour le poste de délégué, pas moins de quatre personnes sont en lice (rappelons que, lors des dernières élections, Paul Giroux avait fait l’unanimité sur son nom avant même le scrutin), dont trois adjoints de la Ville de Pont-à-Mousson. Pas moins. Ce qui montre une nouvelle fois que l’équipe municipale, qui n’est même pas arrivée à se mettre d’accord sur le nom d’un candidat unique, est politiquement parfaitement incohérente.
Stéphane Pizelle, adjoint aux Travaux, avait pourtant une certaine légitimité à prendre le poste : ambitieux, il avait fait ce qu’il fallait en avril pour assurer l’intérim quand le poste fut vacant. Le seul problème, c’est qu’il est Radical, comprenez qu’il adhère à l’UMP par le biais du Parti Radical Valoisien (le parti d’André Rossinot et de Jean-Louis Borloo). Et ça, ajouté au fait qu’il a déjà dit à plusieurs personnes qu’il se verrait bien maire de Pont-à-Mousson en 2014, Henry Lemoine ne peut pas le supporter. Ses contentieux avec cette branche de la famille UMP sont multiples et sa profonde inimitié avec la plupart des membres de ce parti ne sont pas un secret.
Du coup, comme il ne pouvait pas laisser un Radical prendre le parti sans réagir, et qu’il ne voulait pas se présenter lui-même de peur de se prendre une nouvelle veste (à un an des élections régionales, cela n’aurait pas été du meilleur effet pour obtenir une place éligible), il a fait comme d’habitude : il a convaincu une personne faisant partie de sa cour rapprochée de se présenter à sa place. C’est pour cette raison que Laurence Ferrero, très discrète adjointe aux Affaires scolaires, est en lice également. Evidemment, Henry Lemoine, en sous main, fait campagne pour elle car si elle devait être élue, cela lui permettrait de tirer les ficelles sans se mettre directement en danger. Quel courage !
Dans ce scénario de dupes s’ajoute Jean-Claude Vagner, le très truculent adjoint aux Sports, qui a fait croire à Henry Lemoine qu’il rentrerait dans le rang de ses sbires pour avoir, lors des dernières élections municipales, une place sur sa liste et un poste rémunéré d’adjoint. Rappelons qu’il avait été exclu de l’équipe municipale lors du dernier mandat et qu’à l’époque leur mépris mutuel avait fait les choux gras de la presse locale. En se présentant, il indique clairement à tous que son indépendance au maire est intacte et qu’il cherche à se repositionner sur l’échiquier de la politique locale. Durant quelques années, il fut délégué de circo du RPR. Mais il n’avait que le titre. Son travail d’animation avait été si peu suivi que le parti n’avait jamais eu aussi peu de poids dans le secteur de Pont-à-Mousson et de Briey.
Bref, ces élections nous montrent une nouvelle fois qu’il n’y a aucune cohérence politique dans l’équipe municipale, que les adjoints se craignent mutuellement et se tirent dans les pattes. Le vernis des amitiés de circonstance dont ils étaient enduits en mars dernier ne cesse de se craqueler.
Un programme fantaisiste défendu par une équipe incohérente, Pont-à-Mousson n’avait vraiment pas besoin de cela, surtout en cette période de crise, si difficile à vivre pour tous les Mussipontains.
Olivier Postal

mercredi 12 novembre 2008

La dernière contre-vérité d’Henry Lemoine

La malhonnêteté intellectuelle a des limites. Ces derniers jours, dans la presse locale, le maire a clairement annoncé qu’il n’avait nullement l’intention de réaliser un parking souterrain au centre-ville de Pont-à-Mousson, qu’il n’avait jamais dit cela durant la campagne, et qu’il était calomnieux de lui attribuer de tels propos. Carrément.
Voici l’article qu’il a lui-même écrit sur son blog de campagne, le 24 février dernier. Chacun jugera. C’est évidemment une preuve supplémentaire de la fantaisie de son programme et de sa capacité à prendre en permanence ses concitoyens pour des imbéciles. Les Mussipontains se sont fait berner, c’est une nouvelle fois établi, nul doute qu’ils s’en souviendront.
Notre projet pour l'hyper centre ville Par Henry Lemoine, dimanche 24 février 2008 à 00:56
« Une part importante de notre programme est consacrée à l'évolution de l'hypercentre côté Saint Laurent et Saint Martin. Pour les quartiers Saint Laurent et Saint Jean: Nous nous appuyons sur un double constat : le manque de places de stationnement et la "pollution" de la place Duroc par les voitures. Dès lors nous souhaitons rendre piétonne la partie de la place Duroc comprise entre la Maison des 7 pêches capitaux, l'entrée de la rue de Lemud et la rue Thibaud II. L'espace dégagé sera consacré à la promenade, aux terrasses de café et aux animations. Mais il faudra également compenser les places de stationnement supprimées et satisfaire les besoins supplémentaires en créant un parking souterrain. Il sera soit sous la place Duroc, soit sous la place Saint Antoine. Il sera concédé, c'est-à-dire que la construction et la gestion seront confiées à une entreprise privée. Le coût n'incombera pas aux contribuables mussipontains. S'il est place Duroc, il devra trouver sa place sans créer de nuisances : la fontaine restera où elle est, et les entrées et sorties devront être particulièrement discrètes. La durée des travaux est estimée selon les cabinets consultés entre 12 et 18 mois. Les façades et le dessous des arcades de la place Duroc seront également rénovées.
Pour le quartier Saint Martin : là aussi il faudra réaliser l'aménagement du terrain de l'ancienne SUTE, donner de l'oxygène à l'espace laissé vacant par le centre technique municipal rue de l'Imagerie et aménager du stationnement.
Des idées, nous en avons beaucoup sans pour autant qu'elles aient une influence sur la fiscalité ou la dette de la Commune. »
Olivier Postal

vendredi 24 octobre 2008

Le doigt sur la couture

Lundi 20 octobre, lors du dernier conseil municipal, un incident apparemment anodin s’est produit au moment où la conseillère d’opposition, Elfried Epin, a interpellé le conseiller municipal délégué à l’urbaniste, M. Bragard. Souhaitant avoir de sa part une simple précision, elle s’est vue adresser une fin de non recevoir. En effet, le maire n’a pas vraiment apprécié qu’un débat puisse s’instaurer sans son aval. « Ici, c’est moi qui donne la parole ». Cela a le mérite d’être clair.
Ce qui semble clair également, c’est le manque de considération du maire envers certains membres de son équipe, membres qu’il ne juge, semble-t-il, pas capables de répondre à des questions, aussi simples soient-elles. Les intéressés apprécieront. Finalement, lui, qui nous a vendu sa fameuse ouverture à des personnalités de gauche comme un enrichissement, n’a malheureusement rien changé dans ses méthodes : autour de lui, tout le monde doit avoir le doigt sur la couture, ne bouger et ne parler que quand il daigne donner l’autorisation.
Loin de considérer l’ensemble des membres de la majorité pour « des godillots », comme l’a lancé Julien Vaillant aux visages des élus de l’équipe Lemoine lors d’un récent conseil municipal, on ne peut que remarquer que de travailler avec lui ne facilite pas l’émancipation individuelle et que, pour se sentir à l’aise dans ses fonctions, mieux vaut être docile et pas trop susceptible.
Olivier Postal

mercredi 22 octobre 2008

Bas les masques !

Finalement, il n’aura pas fallu longtemps au maire pour faire marche arrière concernant son projet phare des dernières élections municipales : réaliser un parking souterrain en centre-ville. Et pourtant, rappelez-vous, c’était soi-disant techniquement parfaitement possible et, selon lui, cela n’aurait rien coûter aux Mussipontains. Bref, un « projet en or » aux vues des difficultés rencontrées par les automobilistes pour se garer aux alentours de la place Duroc et de la rue Victor Hugo, projet largement retranscrit à l’époque dans la presse locale, sur les ondes de Radio Activité et même sur les tracts électoraux.
C’était surtout de la poudre aux yeux pour enfumer les électeurs. Car, lors de la dernière réunion du conseil municipal qui s’est tenue lundi 20 octobre, le maire a clairement annoncé qu’il renonçait à ce projet et que, finalement, il étudierait la possibilité de créer un parking aérien à plusieurs niveaux dans le secteur de la gare, projet quant à lui soutenu bec et ongle par Paul Giroux lors la campagne.
Alors, une fois n’est pas coutume, je ne peux que le féliciter de ce changement de cap car de tels errements intellectuels auraient été, s’ils avaient abouti, une véritable catastrophe financière et urbanistique pour la ville, et auraient plomber les commerces locaux pour un bon bout de temps. Je ne peux néanmoins que remarquer une nouvelle fois les incohérences de l’équipe municipale et de son chef de fil : après avoir proposé un programme qui s’avère déjà impossible à réaliser, porté par une équipe sans aucune cohérence politique, elle propose maintenant de réaliser le programme des autres candidats et notamment celui de Paul Giroux. Admettez que la démarche peut surprendre et met en lumière une fois de plus leur déficit d’imagination et de tonus pour s’attaquer à bras le corps aux problèmes quotidiens de leurs concitoyens. Rôle pour lequel ils ont pourtant été élus.
Bon allez, je m’arrête là, mais non sans une petite proposition : Monsieur le maire, si vous rencontrez des difficultés au point de vouloir mettre en œuvre le programme de la liste « Pont-à-Mousson…. Demain », alors allez au bout de la démarche. Prenez directement contact avec nous car nous sommes certainement les mieux placés pour vous donner la marche à suivre. Après tout, vous n’êtes pas à une incohérence près et si c’est pour faire progresser la ville, croyez bien que nous mettrons toute la détermination et l’énergie à son service. Car, contrairement à d’autres, c’est la seule ambition que nous a poussée à nous présenter devant les électeurs en mars dernier.
Olivier Postal

mercredi 8 octobre 2008

Heureusement que le ridicule ne tue pas

Saison touristique : « Une année satisfaisante », selon Henry Lemoine
Dans les Tablettes Lorraines de fin septembre, Henry Lemoine dresse un premier bilan de la saison touristique à Pont-à-Mousson. Chiffres à la clef, il se dit tout satisfait des résultats. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’en se contentant de si peu, il montre une nouvelle fois son manque d’ambition pour la ville. Explications.
Premier extrait : « La saison touristique a été satisfaisante puisque nous avons accueilli près de 500 bateaux (487 exactement) au port. Nous avons constaté qu’il y a eu moins de passage cette année en raison certainement du prix du carburant. Les visiteurs sont davantage restés sur place. Une bonne chose pour notre commerce de centre-ville»… Analyse : Si on considère que la saison touristique débute le 15 juin et s’achève le 15 septembre, donc dure environ 100 jours, cela donne 4,87 bateaux/jour.. Vu ce que coûte le port aux contribuables mussipontains, il n’y a vraiment pas de quoi faire le malin.
Deuxième extrait concernant l’aire d’accueil des camping-cars. «Nous avons comptabilisé plus de 1.772 nuitées en camping-cars. D’ici la fin de l’année, nous aurons tout simplement doublé la fréquentation». Analyse : sur la même base que le point 1, cela donne 17,72 nuitées par jour… Quelle prouesse ! En Meuse, les petites structures touristiques rurales font beaucoup mieux.
Troisième extrait : «Sur le plan culturel, le Musée a enregistré près de 3.000 visites, c’est un peu moins que l’année précédente mais Henry Lemoine explique cela par le fait que l’an dernier, une grande exposition ait été installée et a attiré beaucoup de visiteurs. » Deux remarques : sur la même base que le point 1, cela donne 30 visites par jour mais si, comme Henry Lemoine le précise, on se base sur une fréquentation annuelle, on tombe à moins de 10 visiteurs par jour… Le déficit de cette structure doit être abyssale et ce sont encore les Mussipontains qui paient. Question : pourquoi aucune animation particulière n’a été mise en place cette année pour doper le nombre d’entrées? N’est-ce pas le rôle du maire et de l’adjoint à la Culture d’anticiper et de tout mettre en œuvre pour développer les richesses de la commune, pour en faire des points forts de l’économie locale et non des boulets??? On appelle également cela savoir gérer correctement sa commune.
Quatrième extrait concernant la plage du Grand Bleu. «Toujours très fréquentée par près de 7.000 personnes de juin à août, cette plage connaît un vif succès et ce, depuis sa création en 2003. » Pour Henry Lemoine, le Grand Bleu attire les touristes : il faudrait qu’il y aille un peu plus souvent. De cette manière, il comprendrait qu’il attire avant tout les Mussipontains qui ne peuvent partir en vacances et très peu de touristes. Enfin, quoi qu’il en soit, 7.000 personnes en trois mois, cela fait 70 personnes par jour. Un très vif succès pour le maire. Cela laisse songeur…
Cinquième extrait : «Les Estivales ont également participé au rayonnement de la ville. Cette année, nous avions opté pour une programmation très éclectique. Nous avons au total accueilli près de 15.000 personnes sur 8 spectacles avec, entre autres, la venue d’Alain Chamfort et de Julie Zenatti». 15.000 visiteurs en 8 spectacles, cela fait une moyenne de 1.875 spectateurs par soirée. Chiffre forcément estimé la louche, et donc surestimé. Quand on sait qu’il s’agit de spectacles gratuits (enfin, tout de même payer par le contribuable mussipontain), c’est moins que ce que font la plupart des salles lorraines, même petites, pour des spectacles payants. Chapeau bas… Bravo l’artiste !
Franchement, étaler sa satisfaction dans les colonnes d’un journal économique, alors que les résultats touristiques de la ville sont médiocres et insignifiants à l’échelle régionale, y’a de quoi rigoler. D’ailleurs, ceux qui ont lu l’article ne s’en privent pas, notamment les élus lorrains et les acteurs économiques qui, eux, savent ce qu’est une année touristique satisfaisante.
La prochaine fois, il serait plus adroit de parler d’ « Une année en demi-teinte » ou, si le but est de faire de la com., c’est-à-dire paraître positif vis-à-vis d’une situation qui ne prête pas à fanfaronner, d’« une année de transition ». Cela évitera au maire de se ridiculiser et d’entraîner avec lui la ville dans les méandres de sa suffisance devenue malheureusement si ordinaire.
Olivier Postal

dimanche 5 octobre 2008

Face à face

(article paru dans les Tablettes lorraines fin septembre 2008)
JL Haas : "Le fisac est en panne à Pont-à-Mousson"
L’association des commerçants de Pont-à-Mousson, Atout Pont, présidée par Jean Luc Haas, connaît une importante progression en termes d’adhésion. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : ils sont passés de 60 en 2006 à 153 en 2008 sur un total de 200 commerces dans la cité mussipontaine. Soucieuse de promouvoir le savoir- faire local et de défendre les intérêts de chacun, l’association organise de nombreuses manifestations tout au long de l’année. Selon Jean Luc Haas, cette organisation risque d’être remise en cause faute de nouveaux fonds Fisac. Un problème qu’il a souhaité nous exposer. Rencontre.
Les Tablettes Lorraines : Vous présidez, depuis février 2007, l’association des commerçants de Pont-à-Mousson, Atout Pont. Egalement conseiller municipal de l’opposition, vous avez souhaité pointer du doigt le problème du Fisac. Qu’en est-il exactement ?
Jean Luc Haas : En effet, le Fisac est tout simplement en panne à Pont-à-Mousson. Ce fonds qui permet, entre autres, de soutenir les actions en faveur du développement du commerce et de l’artisanat local, est bloqué. Nous demandons depuis la fin d’année 2007 à la mairie qui est maitre d’oeuvre, que la troisième tranche du Fisac soit lancée mais malheureusement rien n’est fait. Cette inaction met en danger nos commerces et plusieurs projets vont devoir être annulés faute de subventions. C’est d’ailleurs déjà le cas puisque nous avons supprimé de nos programmes le bal des commerçants qui devait avoir lieu ces jours-ci. Si les choses ne changent pas, d’autres animations peuvent être remises en cause telles que le marché de Noël par exemple.
De quel budget disposez-vous justement pour pouvoir mettre en place vos actions de promotion du commerce de proximité ?
Il varie chaque année en fonction de ce qui est prévu. Pour vous donner un ordre d’idée, l’an dernier nous avons disposé de 130 000 euros. Ce budget nous a permis de financer de grandes opérations telles que le défilé de mode des commerçants de PAM qui s’est déroulé le 13 avril et qui a réuni plus de 500 participants et 20 boutiques. Nous organisons également des opérations événementielles comme pour la fête des mères ou des pères, à Noël, à Pâques… Notre animation phare, reconnue aujourd’hui par tous, est la Foire au Boeuf qui s’est tenue en juin dernier. Nous avons accueilli près de 25 000 personnes sur deux jours et plus de 200 exposants. A noter qu’à l’occasion de chacune de nos manifestations, nous tenons à dégager des fonds pour soutenir une oeuvre caritative. A cette occasion, nous avons remis une centaine de passeports pour découvrir le Parc Walygator à l’IME Claude Monnet.
Depuis quelques années, Atout Pont a su se développer. Combien de commerçants représentez-vous aujourd’hui ?
En effet, l’association est très dynamique et cela nous a valu une récompense du Conseil Régional : le 1er prix des Unions commerciales de Lorraine en 2007. Aujourd’hui, nous enregistrons près de 153 adhérents contre 60 en 2006 sur un total de 200 commerçants mussipontains. A travers l’association, nous représentons près de 70 % des commerçants locaux.
Comment expliquez-vous une telle progression ?
L’équipe de bénévoles est motivée et n’hésite pas à consacrer du temps à l’association. C’est ce dynamisme qui permet la mise en place d’autant de manifestations, importantes pour le développement des commerçants. Nous avons également développé de nouveaux services que nous proposons à nos adhérents. Toujours dans cette volonté de les promouvoir et de les défendre, nous avons créé un système d’assistance juridique avec un conseiller expert en la matière. Si un adhérent a un quelconque problème, il peut faire appel à ses services gratuitement. Le service est aussi un gage de réussite pour l’association.
Propos recueillis par Héloïse Ettinger
Cet article est paru dans Les Tablettes lorraines numéro 1122. Nous avons eu l’autorisation du journal et de l’auteur de le publier sur notre blog.

vendredi 3 octobre 2008

Mentir Mentir

La chanson de Julien Clerc Partir, Partir revue et parodiée par un internaute créatif qui, semble-t-il, se lasse sérieusement des salades servies par la municipalité depuis mars dernier... Chacun mettra sur l'usage de la troisième personne du singulier le nom qui lui semble le plus approprié.