Dans la foulée de l’élection du nouveau maire a eu lieu au château de Charmilly l’élection du président de la Communauté des communes. Plusieurs scénarios étaient possibles :
* soit les élus communautaires optaient pour un changement total en élisant le maire socialiste de Blénod ;
* soit ils optaient pour le plus capé d’entre eux pour les affaires communautaires: Gérard Liger, maire d’Atton;
* soit ils choisissaient de mettre à la tête de l’institution le maire de la commune la plus importante et, logiquement, la mieux représentée : le nouveau maire de Pont-à-Mousson, Jacques Choquenet.
Très rapidement, Gérard Liger fut éliminé de la compétition, une nouvelle fois victime de la capacité de nuisance d’Henry Lemoine qui, en sous-main, a œuvré pour l’empêcher de prendre une place trop importante dans l’animation et la gestion du bassin de vie mussipontain. Comme d’habitude, ayant trop peur qu’il lui fasse de l’ombre, il a fait ce qu’il fallait pour l’évincer d’un poste qu’il aurait assumer vraisemblablement avec un certain talent.
Les deux autres candidats se sont donc présentés et, logiquement, c’est Jacques Choquenet qui l’a emporté. Ce qui est moins logique, c’est que sa victoire fut des plus étriquées. En analysant les résultats, il ne faut pas avoir fait Math Sup pour comprendre qu’il n’a pas fait l’unanimité dans son propre camp et donc que certains délégués mussipontains, issus de la majorité du conseil municipal de la Ville, n’ont pas voté pour lui.
C’est sympa de se sentir soutenu par ses « amis ».
Olivier Postal
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